Il a l'âme thêatrale et en joue avec grâce.
De sa fougue ancestrale, il sait mener la danse !
Personne, sur son passage, ne trouvera Byzance
Cela a-t-il vraiment bien grande importance ?
Quand il lâche les mains, d'un coup, sans crier gare,
Son sourire enfantin, pour sur, nous rend hagard.
Que fait-il en ce lieu où rien ne nous répare
Si ce n'est que passer et mettre fin à l'histoire !
Dans un voyage sans fin, il erre à sa convenance
Pour venir hanter les pages sans contenance.
Le bout du couloir, il le voit en permanence
Cela peut expliquer sa forme d'exubérance !
Rien à gagner, rien à perdre, voila un maître mot
Qui passe son temps à accorder les maux.
Sa modeste maison, son espace de paix
Lui donne, sans cloison, sa forme de liberté !